Bague diamant

Pourquoi choisir une bague diamant Femme sertie d’un diamant naturel

Pendant des millions d’années, les évènements géologiques ont oeuvré pour métamorphoser le carbone en une pierre d’exception. Nés dans des conditions extrêmes, parfois à plus de 150 kilomètres dans les profondeurs des entrailles de la Terre, les plus jeunes diamants naturels ont au moins 900 millions d’années. C’est ce miracle géologique qui fait leur rareté, et par voie de conséquence, leur prix. Par leur couleur, leur pureté, leurs inclusions, chaque diamant est unique.

Le secteur artisanal du diamant naturel emploie 1,5 millions de personnes dans le monde. Il représente une source de revenue importante dans les pays producteurs et fait donc vivre plus de 10 illions de personnes dans le monde.

Le diamant de synthèse est-il une alternative écologique au diamant naturel ?

De plus en plus d’études montrent le contraire. D’une part, parce que seule l’industrie du diamant contribue à faire vivre ces millions de familles dans le monde, oeuvrant activement en collaboration avec des ONG à l’établissement de routes commerciales transparentes, représentant une source de revenu importante pour les populations locales souffrant de pauvreté. Ensuite, parce qu’un diamant de synthèse d’un carat produit en Chine ou à Singapour émet 40 pour cent de plus de CO2 qu’un diamant naturel. Sans parler du fait que les diamants de synthèse n’ont aucun impact socio-économique au delà de leurs actionnaires privés. Et le prix d’un bijou serti d’un diamant de synthèse qui reste encore très élevé n’a aucune valeur de revente.

Diamant Éthique

Pour vous garantir un diamant éthique, nos critères sont extrêmement exigeants et nos diamants correspondent à moins de 1 % des diamants produits dans le monde. Comment faisons-nous ? Nous ne travaillons pas avec des lapidaires qui ne peuvent nous donner d’indications sur la provenance géographiques des pierres qu’ils proposent. Nous ne travaillons qu’avec 1 partenaire, une des principales entreprises de l’industrie, engagée dans le respect de normes sociales strictes et assurant une redistribution aux communautés minières.

Pour votre bague diamant Femme les diamants sont ainsi extraits dans le respect du BPP (Best Practice Principles), un ensemble de politiques éthiques auditées de manière indépendante, qui établit un cadre éthique pour l’exploitation minière.

La charte BPP couvre l’ensemble des questions de responsabilité sociale, incluant le bien-être des employés, la transparence de la gestion financière. Le respect total de toutes les lois et des accords internationaux tels que le Le Processus de Kimberley sont le fondement de cette charte. Gagner ainsi la confiance d’une nouvelle génération de consommateurs beaucoup plus exigeants en matière d’éthique est au cœur de notre démarche

Membre du Responsible Jewelry Council

Les membres du RJC s’engagent à promouvoir les droits de l’homme, des pratiques éthiques responsables au plan social et environnemental dans un environnement transparent de la mine à la vente au détail. Cet engagement vise à renforcer la confiance des consommateurs.

Notre partenaire est bien évidemment certifié RJC, tout comme les deux groupes miniers d’où sont extraits les gemmes que nous vous proposons.
– au Botswana : création d’hôpitaux, d’écoles, de services communautaires et de réseaux routiers, prise en charge tous les frais médicaux des employés et de leurs conjoints, fourniture de programmes de soins, de santé, d’énergie et d’éducation, 160 000 hectares de forêts entretenues autour du centre minier au Bostwana. L’’industrie diamantaire a largement contribué à la croissance économique du pays qui bénéficie désormais du plus haut taux de développement des pays africains (voir l’Indice de Développement Humain ou IDH de l’ONU).
– en Russie : mise en place de procédures ayant pour but non seulement de minimiser l’impact des activités minières sur la nature, mais aussi d’encourager la croissance économique de la région. Les salaires des employés sont deux fois plus élevés que le salaire moyen de la région d’extraction et trois fois supérieurs au salaire moyen en Russie. La majorité des travailleurs sont aussi membres du syndicat spécialisé qui protège leurs intérêts. Le groupe minier verse chaque année plus de 1 milliard de dollars en impôts et dividendes à la région, ce qui représente près de 40 pour cent de son budget. A titre d’exemple en 2016, le groupe a apporté plus de 180 millions de dollars en investissements sociaux, soit environ 3 pour cent de ses revenus. Des projets sociaux qui profitent réellement aux populations. Ainsi, à la fin de l’année dernière, le groupe a entamé un vaste programme de dépistage de santé gratuit pour les travailleurs. La société se charge aussi de fournir des retraites additionnelles, des soins de santé, de l’aide pour les hypothèques et le logement, ainsi que d’organiser des événements sportifs et culturels.

Propagande me direz-vous ? Nous ne vivons pas dans un monde parfait et nous sommes conscients que beaucoup de progrès restent à faire pour que ces engagements trouvent une traduction pratique de 100 % sur le terrain. Mais une nouvelle réalité est en marche, certifiée par des organismes d’audit occidentaux sur la bases de chartes éthiques établies en Europe de l’Ouest.